Le modèle le moins cher réapparait
à la page "instruments pour jazz-band" du même catalogue
:
et on trouve également à la rubrique
imitations diverses, un rossignol ou canari en métal
nickelé avec coulisse, genre jazzoflûte
Deux flûtes à coulisse (dit
également jazoflûte ou jazzoflûte) de fabrication
industrielle récente (RDA années 70) en PVC,
métal et bois. La tige permet de faire coulisser un piston
interne qui détermine la hauteur de la note.
Deux flûtes à coulisse, la première en
palissandre et inox semble déjà un peu ancienne, la
seconde en matière plastique, de marque ACME est toujours
commercialisée.
(et encore merci à Denis qui m'a laissé photographier
et vous présenter ces deux instruments ainsi que pas mal
d'autres sur ce site...)
autre version en plastique
Flute à coulisse en plastique : en général ce
type de jouet est doté d'un tel jeu entre le piston et le
corps de la flûte qu'il ne permet pas d'obtenir une vraie
progression des notes et donc un vrai jeu.
Un instrument qui connu son heure de gloire dans les
bals avant guerre avant de retourner au rayon des accessoires.
Flûte à coulisse en bois de section acrrée (le
piston a été sorti pour la photo, une
étanchéïté suffisante est obtenue par un
morceau de cuir collé à l'extrémité du
piston)
Bien que construit selon le même principe, celui-ci, en buis,
est davantage un sifflet à effet (appeau ?) qu'une
véritable flûte à coulisse
Même chose pour ce tout petit appeau doté d'un sifflet
(à gauche sur la photo) et d'un petit piston passant de part
et d'autre d'une fenêtre en bout de tuyau de manière
à produire une sorte de gazouillement.
Si certains tuyaux d'orgue sont en bois, de
forme similaire à ce tuyau, ce dernier, à coulisse, est
en réalité un diapason, dont le piston réglable
permet d'obtenir plusieurs notes. La tige du piston n'est pas
d'origine, celle-ci devait porter des graduations correspondant aux
différentes notes. Voir plus de détail sur ce diapason
à usage scolaire.
Vue du biseau après démontage de la plaque
supérieure visée
Vue du piston : planchette de bois recouverte de peau
Ce diapason possède deux étiquettes en
papier aujourd'hui illisibles et plusieurs tampons :
Mentions UT 5 (note la plus grave de ce diapason), et Ducretet Paris
8 010 (?)