Sc/pierre : "Le Christ ressuscité, accompagné de musiciens, descendant l'escalier, apparaît à Adam"
Fin XIVème, début XVème
Représentation abîmée
Sur cet ensemble voir le bulletin des Monuments historiques n° 127, juin-juillet 1983 (photo. N.B. de l'ensemble, très belles photos couleur... des autres scènes)
Vitrail central, scène inférieure : annonce aux bergers
XIVème
Apparemment sans bourdon ou alors bourdon très court, très long et fin chalumeau cylindrique se terminant par une petite tête animale formant pavillon, petit porte vent, sac et tuyaux blancs mais la partie supérieure du sac n'est pas visible. L'orientation du porte-vent par rapport au chalumeau démontre toutefois qu'il s'agit bien d'une cornemuse et non d'un simple hautbois et d'un sac porté en bandoulière comme cela est parfois le cas sur des vitraux de ce type.
Tableau d'Adriaen Brouwer (1606-1638)
Début XVIIème : "Intérieur de tabagie", le musicien debout, les genoux fléchis, joue pour un danseur ivre au centre du tableau
Cornemuse difficilement discernable (sans bourdon)
Tableau (Huile sur bois) : "La danse de noce en plein air"
1620 , Brueghel le jeune (1564-1638) (signé et daté) d'après Pieter Brueghel l'ancien (1520/25-1569). Voir autres versions à Paris (Louvre), Quimper, Bordeaux, Nantes et Nîmes) Celui de Nîmes est très semblable, la seule différence notable étant un léger recul de la scène de l'arrière plan.
2 cornemuses à deux bourdons verticaux implantés haut
C.P. double format ed. Orient et simple format ed. du Musée
"L'opera completa di Brueghel", Milan 1967 (photo.)
Cité par G. Marlier op. cit.
Sculpture sur pierre : culot de retombée de larmier de fenêtre sur le pignon donnant sur la rue, culot droit de la fenêtre de gauche (rez-de-chaussée) : les quatre culots représentent des personages accroupis (jambes repliées en arrière, pieds écartés) et qui ont tous les épaules un peu proéminentes ce qui leur donne une allure bien particulière. Deux instrumentistes : cornemuse et sorte de luth à petite caisse, le troisième tient une serpette et le quatrième porte les mains à son visage, à proximité de sa bouche grande ouverte.
Fenêtres datant du XVème d'après Monumentum
Sans bourdon, tuyau mélodique conique, avec une conicité légèrement plus prononcée sur le pavillon, ce dernier précédé d'un très léger mais large tore. Deux trous de jeu visible sous la main inférieure (la droite) et deux entre la droite et la gauche, cette dernière cachant la souche de ce tuyau. Les mains ne sont donc pas en position de jeu même si le tuyau porte-vent, conique et sans souche marquée (semble le prolongement de la forme du sac) est tenu en bouche.
gravures par Jean Philippe Le Bas, graveur au cabinet du Roi
* n°4: fête flamande, dédiée à Mme la Marquise de Pompadour
R. Amyot
Sc/pierre: nativité avec annonce aux bergers
XVIème
Sans bourdon
M. Laissy, "Les Noëls populaires Lorrains" (photo. N.B.)
M. Vallas, "St-Nicolas et Noël en Lorraine" (photo. N.B.)
"Images du patrimoine : Neufchâteau" (photo)
Peinture ( ?) : trumeau avec couple de bergers dont l'homme joue de la musette
Musette sans bourdon
"Images du patrimoine : Neufchâteau" (photo)
J.C. Compagnon
Bois sculpté décoré d'un trophée d'instruments de musique comportant une cornemuse.
Figuration est extrêmement simplifiée : un porte-vent et - semble-t-il - deux tuyaux parallèles (dont l'un terminé par un pavillon) percés de trous et montés surune poche en forme de haricot
L'Estampille-L'Objet d'Art, n° 387, janvier 2004 (photo p.60)
P. Boulanger
Tableau de Camille Pabst (1821-1898) intitulé "Triboulet et la maîtresse du roi" et inspiré de la pièce de Victor Hugo "Le roi s'amuse". Le fou du roi François 1er, Nicolas Ferrial dit "Triboulet", tout de rouge vêtu est négligemment assis sur une grosse chaise, le menton posé sur ses deux mains, elles mêmes croisées sur la tête de sa marotte. Il a une jambe ramenée sur le devant du piétement de la chaise (tabouret ?). Son coude droit s'appue sur un tissus de velours vert qui semble posé sur la rambarde de l'escalier (ou s'agit-il d'un meuble ?). Il regarde le peintre d'un air narquois. Debout à sa gauche, une femme nue (la maîtresse du roi du titre du tableau), de face, dans une belle pose, le buste penché sur la gauche, appuie deux doigts sur l'épaule du fou qu'elle semble toiser du regard, tout en tenant un miroir de la main gauche. Une étoffe blanche est pendue à son coude droit et une bleu à son coude gauche. Une ouverture entre une rangée de colonnes rondes derrière elle, à droite de la composition, laisse entrevoir un bâtiment de brique à toit d'ardoises. Une cornemuse est posée à terre devant elle, au dessus d'un marche en marbre. L'instrument est dégonflé et son grand bourdon, revient à l'arrière de la poche, orienté dans le même sens que le hautbois et le petit bourdon, eux même appuyés sur la poche. Une petite tortue, sur la marche inférieure, lève la tête vers l'instrument.
Fin XIXème (tableau de style pompier)
Grande musette du centre (Bourbonnais-Nivernais) incrustée d'étain très fidèlement représentée : un grand bourdon en trois partie et un petit bourdon parallèle en deux. Hautbois conique. L'ensemble boitier, petit bourdon et hautbois rest vu par derrière comme en témoigne la place respective du petit bourdon et du hautbois (mais il auraient pu avoir été inversés) mais, surtout, la présence du seul trou de pouce et d'un trou d'accord sur le hautbois..
CP ed. direction des Musées de France
J.C. Compagnon
Plaques de cuivres argentées (sans relief) : trophée avec musette devant une faux, un rateau et une bêche, surmontée d'un tambour de basque (?) et d'une sorte de trompe à l'extrémité coudée. Les boiseries de cette pièce renferment deux autre trophées avec instruments, en bas relief cette fois-ci et d'une représentation plus fidèle : le premier avec hautbois (peu conique) et trompette naturelle (1 tour et demi, forme assez allongée), le second avec flûte traversière et guitare.
1760-80 : porte milieu XVIIIème décorées de boiseries un peu plus tard ors d'un réaménagement.
Musette très schématique :un sac piriforme mais sans col de cygne, doté d'une très grosse souche moulurée de laquelle s'échappe un petit tuyau mélodique s'évasant en pavillon. Un gros et très court tuyau (pavillon) mouluré est placé à l'extrémité opposée du sac et un troisième tuyau, réduit à un simple pavillon court et de gros diamètre est visible en haut du sac, sans que l'on sache s'il appartient ou non à l'instrument.
Peinture sur bois : trophée avec musette, trompette et tambour de basque, roses et leurs feuillages et deux petits objets bruns non identifiés. Trois autres trophées : un avec nacaires et carquois, un avec pigeon, chapeau champêtre, panier, torches et un tuyau qui pourrait être une tête de flûte traversière, le dernier , face à celui avec musette (de l'autre côté des cordes) avec luth, cor à un our et demi, une autre tête de flûte traversière et un pavillon qui pourrait être de hautbois, toujours sur fond de roses mais avec une partition.
1780 à Paris
Musette stylisée à deux chalumeaux de longeurs inégales mais tous deux relativement courts et s'évasant en pavillons bruns alors que leurs tuyaux, plus cylindriques sont noirs. Une boîte à bourdons dont les layettes sont stylisées mais qui présente la forme caractéristique de son extrémité. pas de porte-vent ni soufflet visible, housse rouge et galons bruns.
Sculpture/pierre en haut relief : Singe joueur de cornemuse, assis, aux jambes croisées. Copie récente d'un claveau du portail Nord de l’église Notre Dame de Vouvant (85).
Réalisée en 2002 sous la Direction de Richard LEVESQUE , alors Conservateur des Antiquités et objets d’art de la Vendée dans le cadre d'un projet visant à mettre en avant la musique médiévale au travers de sculptures (personnage et instrument) trouvées sur des chapiteaux, des modillons… de différentes églises de Vendée et surtout une mise en relation du modèle de pierre et de l’instrument qui peut en découler. Ces sculptures, ont donné lieu à la fabrication de répliques et à la fabrication de chaque instrument (sept : cor, cornemuse, muse à corne, rote-psaltérion, harpe, vièle ovoïde et vièle piriforme) qui sont exposés dans cette galerie.
Un bourdon d'épaule à raccord médian bien visible, pavillon précédé d'un bourelet et bourelet supplémentaire entre le raccord et le pavillon. Tuyau mélodique extérieurement conique, assez court. Porte-vent cylindrique, d'assez fort diamètre et tenu en bouche.
"La Musique des Pierres", édité par le Conseil Général de la Vendée
http://photosfrancecotesouest.eklablog.fr/abbaye-de-nieul-sur-l-autise-c26994768/13 (photo)
Tableau (Huile sur toile) de Jules Salles d'après le tableau de Léopold Robert conservé au Louvre (cf. ref.) : "Moissonneurs dans le Marais Pontin"
Zampogna
P. Sagnier
Gravure : série complètes des gravures d'Etienne Fessard représentant les peintures de l'"Hospice des enfants trouvés" de Paris, premier tableau droit latéral (premier tableau du cortège des bergers). Cet hospice fut construit en 1746 derrière Notre-Dame, à l'emplacement actuel de l'Hôtel-Dieu, et décoré en trompe l'oeil par Charles Joseph Natoire (Nîmes 1700 - Castel-Gondolfo 1777), Brunetti (?-1748) et son fils Paolo Antonio Brunetti (1723-1789). Ce bâtiment n'existe plus aujourd'hui (détruit en 1868 et 1878)
Peinture originale de 1746-1750, la gravure de Fessard date de 1754
Deux cornemuses et un hautbois (trompette droite ?) :
* cornemuse de gauche à un bourdon d'épaule non entièrement visible, plus fin, terminé par un large pavillon; hautbois conique et petit bourdon parallèle.
Musée d'Art et d'Histoire de Nîmes, "Charles Joseph Natoire,
peintures, dessins, estampes et tapisseries des collections
publiques françaises" (photo. N.B.)
Cité par A.P. de Mirimonde
op. cit. t.1 p.110, L. Duclaux 1971 et 1975 , E. Pognon et Y.
Bruand 1962
Couverture du n°14 d’Utriculus, avril-juin 1995 (version
coloriée de la gravure)
P. Sagnier
Tableau très certainement attribuable à P. Brueghel le jeune (1564-1638) d'après Pieter Brueghel l'ancien (1520/25-1569)
"Danse de la mariée en plein-air", version avec cornemuseux à droite, très proche de la version signée et datée conservée au Musée de Narbonne (cf. ref.) qui comporte également le deuxième arbre à droite destiné à modifier le format par rapport aux autres versions de ce tableau (voir également à Paris (Louvre), Quimper, Bordeaux, Nantes, et Narbonne ) ). La plaque apposée sur le cadre du tableau porte le titre erroné "Kermesse flamande" et une attribution plus que douteuse à P. Brueghel le Vieux.
2 flamandes à 2 bourdons verticaux implantés haut
G. Marlier op. cit. le cite dans la liste des versions avec cornemuseux à gauche, il y a donc erreur dans cet ouvrage par ailleurs indispensable pour s'y reconnaître entre les différentes versions des tableaux de la famille Brueghel.
MC. & P. Bollier
Mes correspondants n'ont malheureusement pas trouvé trace d'un cornemuseux correspondant à cette description dans ce musée.
Manche de couteau en ivoire, trouvé au Bernard (Vendée) : berger debout vêtu d’une sorte de bure à capuchon, portant à la ceinture un petit sac quadrillé et les ustensiles du berger (couteau etc…)
2ème quart XIVème
Sans bourdon, pied de section rectangulaire dont la partie droite est légèrement plus longue, porte-vent en bouche
C.P. éditée par l’association Musées vivants de Niort et
Cat. expo. "Les fastes du gothique; le siècle de Charles V"
Paris 1981/82 (photo. N.B.)
Fiche avec photo visible sur le portail Aliénor du réseau des musées ("Conseil des musées") de la Nouvelle-Aquitaine à l'adresse : https://www.alienor.org/collections/oeuvre/17519-couteau-manche-joueur-de-cornemuse
P. Boulanger
Peinture murale: scène de danse avec joueur de cornemuse assis sur un tonneau; le pied droit replié sous lui. Signé V. Perrin
Fin XXème ou début XXIème
1 bourdon d'épaule en trois parties dont la dernière présente un renflement médian et un pavillon. Tuyau mélodique à pavillon et petit bourdon parallèle à peine plus court et présentant le même petit pavillon. Tous les tuyaux sont représentés par un trait assez fin (violet), Tuyau mélodique et petit bourdon ne sont pas représentés entre les mains du musicien et le sac. Pas de porte-vent visible, vu la position assez basse du sac, il pourrait s'agir d'une cornemuse à soufflet (non visible). sac brun. Bien que la représentation de l'instrument soit assez schématique, l'impression générale est assez réaliste.
C. Saunière et J. Mc-Iver
Gravure coloriée (incunable ?), gravure séparée de son ouvrage d'origine : lettrine L du mot "Laissez" avec scène d'annonce aux bergers: berger debout devant une colonne formant la partie verticale de la lettre L, tenant sa cornemuse sous le bras droit et portant sa main gauche au dessus de yeux pour regarder l'ange annonciateur (dans le ciel en haut à droite de la scène). Un second berger légèrement en arrière plan marche en s'appuyant sur sa houlette, lève également sa main droite, mais, la tête tournée en arrière, regarde non en direction de l'ange mais en direction du berger cornemuseux. Décor de campagne avec chateaux sur collines.
2 bourdons d'épaule divergents, coniques très évasés, de même longueur moyenne, petit porte vent que le musicien tient de la main, mais pas de hautbois (!), sac piriforme gris.
M. Vanden Bemden Casier
Gravure coloriée (incunable ?), gravure séparée de son ouvrage d'origine : scène d'annonce aux bergers: deux bergers debout de dos ou de profil à gauche et à droite de la scène écoutent la parole de l'ange annonciateur (au milieu du ciel dans un nuage bleu, tandis que le berger cornemuseux, assis de face très légèrement en avant, continue impassiblement à souffler dans son instrument, son chien endormi à ses pieds
1 long bourdon d'épaule extérieurement conique à raccord médian, hautbois relativement court, porte-vent
M. Vanden Bemden Casier
Mosaïque réalisée en carreau de terre cuite, miroirs et pâte de verre sous la direction artistique et technique de Danièle Lacrabère. Les carreaux ont été gravés avant cuisson par les enfants des écoles et les visiteurs de l'exposition de juin 2005. L'un des carreaux représente deux cornemuses zoomorphes dans un style humoristique, la plus petite soufflant sur la grosse.
2005
1 bourdon d'épaule à 1 raccord, hautbois conique
Sc/bois
XVIIIème
Trophée d'instruments dans lequel un tuyau emmanché dans un sac est censé représenter une musette
"Les Ardennes", coll. "Richesses de France", ed. J. Delmas (photo. N.B.)
Vitrail : concert d'ange autour d'un Dieu le père, dans des lancettes séparées : harpe, cornemuse, guiterne, tambour etc... Avec également des têtes d'angelots et des étoiles. Le cornemuseux est vêtu d'une robe rouge franc. Il joue avec le tuyau mélodique tenu quasi horizontalement
XIXème ouXXème ?
Sans bourdon, tuyau mélodique extérieurement conique s'évasant assez largement en pavillon, la main gauche de l'ange étant curieusement placée sur ce pavillon. Sac blanc à col de cygne (curieusement la partie sous le col de cygne n'est pas rouge comme elle devrait l'être, laissant voir la robe de l'ange). Petit porte vent en bouche.
Photo de "Gerfaut" sur Flickr.com
Fresque murale très dégradée (peut-être complètement disparue à l'heure actuelle ?)
XIXème : nativité (allégorie), personnages locaux dont un cornemuseux
P. Bardoul
Vitrail
C. Novoa Gonzalez op. cit. p.106
Fr. Schneider
NOYON (Oise) :(voir fiche photos) : Cathédrale, trésor, armoire, intérieur de la porte droite (cette armoire ne serait plus dans la cathédrale, perdue ou détruite lors des conflits du XXème siècle ?)
Sc/bois
XIVème
Dans l'ouvrage cité ci-dessous, M. Didron précise, en sus de la gravure reproduite ci-dessous : "Sur l'intérieur de ces volets, l'artiste a représenté la musique céleste, sous la forme d'un quatuor d'anges, dont trois, encore existants et dont nous donnons la gravure, tiennent une clarinette, une cornemuse et un petit orgue à soufflet ; le quatrième, qui n'existe plus, pinçait probablement de la harpe. Ces anges sont vêtus de blanc et se détachent sur un fond, tantôt pourpre foncé, tantôt vert et parsemé d'étoiles. Deux autres anges tiennent des chandeliers, et les deux derniers encensent ; nous avons fait graver un de ces encenseurs."
1 bourdon d'épaule s'évasant très largement en pavillon après un raccord aux deux tiers de sa longueur environ. Tuyau mélodique assez fort, extérieurement cylindrique et s'évasant en pavillon. Sac formant un col de cygne, porte-vent tenu en bouche.
M. Didron, "Armoire de Noyon", Annales archéologiques, 4, Paris 1846 p369-375 (gravure) (note : ce volum des annales archéologiques comporte également la première partie d'un "essai sur les instruments de musique au moyen age - 1 instruments à vent" par E. de Coussemaker
Fr. Schneider
Biscuit de porcelaine de la manufacture de Sèvres en haut
relief : "Couronnement de la rosière de Salency" ou "La
vertu récompensée" : un homme debout vient poser une
couronne sur la tête d'une jeune femme assise (mais ne volant
pas au vent). Quatre personnages secondaires les entourent : sur
la gauche une jeune femme un genou en terre présentant un panier
de fleur, un jeune homme jouant d'une petite cornemuse et, sur
la droite, un personnage portant un drapeau hampe dressé mais le
grand drapeau proprement dit retenu le long de sa hampe, et un
jeune-homme cachant sa tête derrière un miroir (?) ovale. Tous
sont noblement vêtus, les hommes portent perruque.
XXème, manufacture de Sèvres, Josse-François-Joseph Leriche (1741-1812) d'après un original de Simon Louis Boizot (1743-1809) conçu en 1776
Pas de bourdon visible sur la photo du site POP mais présence
d'une boîte à bourdons sur l'exemplaire de Sèvres (voir sa
description) et donc très probablement ici également,
tuyau mélodique assez court, porte-vent tenu en bouche
Autre exemplaire à Sèvres
Fiche sur la base POP du Ministère de la Culture . https://pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM60000243?base=%5B%22Patrimoine%20mobilier%20%28Palissy%29%22%5D
(photo)