VALENCAY (Indre) : Château, salon de musique, trophée en hauteur dans les boiseries
Sc/bois (stuc ?) : trophée avec cornemuse, triangle à anneaux ,castagnettes et feuillages
Musette schématique : deux tuyaux mélodiques, le plus court cylindrique, le plus long conique, boîte à bourdons, poche dont la partie arrière semble ligaturée
H. Rivière
VALENCE-SUR-BAÏSE
(Gers) En 2024 la sculpture de l'église de Lagraulet (voir
fiche photo) était exposée (temporairement ou
définitivement ?) à l'abbaye de FLARAN dans cette commune de
Valence-sur-Baïse
Tableau du Maître de Francfort : adoration des bergers : berger à une fenêtre, une main sur le hautbois de sa cornemuse, l'autre posée sur le front
Vers 1500
1 bourdon d'épaule cylindrique et fin, apparemment d'une seul pièce, s'évasant en pavillon
Photo. Marburg 606 701
Fr. Schneider
Tableau de Peter Coecke d'Alost (1507-1550) (dos du volet droit du triptyque de l'adoration des Mages)
Début XVIème : adoration des bergers
Représentation assez schématique : deux hautbois (ou hautbois et bourdon parallèle ?) et un porte-vent sont représentés par un simple trait noir épais. La position de la main gauche en haut du hautbois est bonne, par contre la main droite est placée sur le sac au niveau de la souche du hautbois.
Fr. Schneider
Tableau de Jacob Jordaens (1593-1678)
XVIIème : "Comme les vieux chantent, les petits gazouillent" : il s'agit d'une des scènes d'intérieur de ce peintre assez proches mais différentes dans leurs personnages selon les versions. Celle ci comporte une vieille femme à gauche dans un imposant fauteuil en osier sur lequel est juché une chouette, devant ses genoux et sous la partition (?) qu'elle lit, un enfant souffle dans une petite flûte (?), un vieillard à lunettes sur le bout du nez, tenant un pichet en étain à couvercle au centre, une femme tenant un petit enfant flutiste au dessus de lui, un joueur de cornemuse debout à la gauche (à notre droite) des deux précédents, une femme assise de profil tout à droite, visage tourné vers nous et un enfant débraillé sur les genoux.
2 bourdons verticaux de longueurs inégales, reliés par des chaînettes et ornés de glands frangés? Souche du hautbois en forme de tête de lion (griffon ?) aux traits presque humains. Hautbois de forte section, semblant légèrement conique. Le pavillon n'est pas visible. Porte-vent prolongé par un fin tuyau gris. Housse du sac ornée de franges et d'un double galon bleu et rose-orange
C.P. ancienne sépia situant le tableau au Louvre (cf. ref.)
"Mille peintures des musées de France" ed. Gallimard Beaux
Arts (photo.) p.210
fait l'objet d'une page Wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_jeunes_piaillent_comme_chantent_les_vieux
Fiche du musée du Louvre : https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl010054320 (photo)
Autres versions :
- Anvers titrée "Concert de famille" ou du
même titre qu'à Valenciennes
- Tapisserie au château de Hluboka en Bohème
- une gravure (récente) de ce tableau au château de Denonville
(cf.
ref.)
- une gravure au musée des beaux arts et de
la dentelle d'Alençon (sans
la chouette notamment, cornemuse différente)
- Musée des Beaux-Arts du Canada à Ottawa : voir https://www.beaux-arts.ca/collection/artwork/les-jeunes-piaillent-comme-chantent-les-vieux. Il s'agit d'une version différente dans le positionnement des personnages (dont cinq sont les mêmes et ou l'on retrouve le grand fauteuil en osier et la chouette mais où le joueur de cornemuse est remplacé par un flûtiste. Un fou apparaît à son côté, tenant une petite cageà oiseau, un chien au premier plan, le pichet est en grès et non plus en étain etc...
Un tableau de Jan Steen (plusieurs versions) porte le même titre que celui-ci (voir Montpellier (ref.))
Fr. Schneider
Tableau d'Olivier Le May (1734-1797)
XVIIIème : "Herminie chez les bergers", dans un paysage typique de certaines peinture du XVIIIème (soleil couchant, grands arbres et quelques ruines), Hermine, montée sur un fort cheval blanc, aborde un groupe de "bergers" assis (il s'agit en fait de vachers). Seul le cornemuseux se tient debout
Type Zampogna à deux hautbois d'égale longueur et un bourdon plus court. Porte-vent très court pointant vers l'avant
Fr. Schneider
Marqueterie de la porte d'un secrétaire : trophée avec tambour, luth (?) et objets indéterminés
Musette figurée par un sac seul (pas de tuyaux !)
Fr. Schneider
Milieu ou troisième quart XIIIème
* fol.054v : lettrine historiée S avec personnage tranchant la gorge d’un chien gris, chien gris debout sur ses pattes arrières et soufflant dans une trompe droite et joueur de cornemuse hybride à pattes et ailes d’oiseau sous un tronc-bras-tête humain et couronné
Sans bourdon, tuyau extérieurement à peine conique à l’extrémité basse taillée en biseau et l’autre entrant dans la gueule d’une souche en forme de tête animale (chien ?). Très court porte-vent dressé presque devant la bouche. Sac quasi sans col de cygne (la souche animale forme presque un angle droit). Sac et tuyaux uniformément blancs
* fol 119 : lettrine historiée X divisant la lettrine en quatre triangles. Dans celui de droite, un hybride homme vêtu de rose doté d’une partie basse presque verticale avec ailes repliées et pattes de lion blanche et queue rose se prolongeant en une spirale à un tour et demi. Il joue face à un hybride de même type, joueur de longue viole à archet (triangle gauche). Un centaure archer occupe le bas du X et un hybride oiseau le haut.
Même description que les précédentes mais le bas du tuyau mélodique ne semble pas en biseau.
* fol 120 : lettrine historiée V au sein de laquelle un hybride complexe : roi ailé dans le dos comme un ange mais doté d’une partie basse horizontale avec ailes repliées et pattes de lion et queue se prolongeant en une spirale à deux tours et demi. Il joue face à un griffon gris et un oiseau blanc de profil est figuré sous le V sur un quadrillage rose et rouge.
Même description que les précédentes. Les deux mains sont presque au même niveau et passent toutes deux devant le tuyau. Deux trous de jeu sont figurés au dessus et deux en dessous. Ces trous de jeu représentés face à nous alors que la cornemuse est figurée de profil. Le tuyau de jeu est biseauté à son extrémité avec longueur maximale sur le devant.
* fol.122v. : lettrine historiée Z avec joueur de flûte à trois trous – petit tambour, cornemuse et viole à archet
Même description que la précédente, tuyau mélodique un peu plus conique, souche davantage en forme de tête de renard.
VALENCIENNES (Pas-de-Calais) : Bibliothèque municipale (Ms.0460 (424). f. 12v.)
Manuscrit enluminé : Histoire de la Toison d’or par Guillaume Fillastre (avec dédicace à Charles Le Téméraire) : Pâris siégeant au milieu des bergers. Pâris est assis au centre da la composition sur un siège monumental couronné d’un dé. Inscription « Actor cedis proditor edis subversor sedis » en bleu sur noir sur le piédestal de ce siège ainsi que sur le devant du dais. Il tient une houlette de sa main droite et écarte la main gauche, paume dirigée vers nous. Il est encadré par deux arbres aux feuillages bruni tout comme l’herbe de la campagne dans laquelle se déroule la scène (avec toutefois une ville à gauche et un bâtiment isolé au fond à droite. Deux bergers sont debout à gauche, tenant chacun une houlette. Nombreux moutons derrière eux, derrière le siège et jusqu’au troisième berger de l’autre côté, mais également deux bovins et un âne. Le troisième berger est debout, quasi de profil, les pieds dissimulé par le départ d’une petite butte. Il souffle dans sa cornemuse, tenue presque devant son ventre, mais le bourdon passant sur son épaule gauche. Il est coiffé d’un chaperon bleu et vêtu de rouge et de noir.
Quatrième quart XVème ?
Un bourdon d’épaule extérieurement cylindrique et fin, s’évasant en pavillon à son extrémité. Tuyau mélodique asses long (deux tiers du bourdon environ), extérieurement conique mais s’évasant surtout assez brusquement en pavillon. Petit porte-vent tenu en bouche., sac jaune clair assez volumineux à très court col de cygne.
Décos de ce manuscrits visibles sur le site ARCA à partir de la page : https://arca.irht.cnrs.fr/ark:/63955/md13zs260h28Huile sur toile de Jean Benoit (ensemble d'une chapelle)
1898 à 1902 : adoration des bergers; un autre berger porte deux tuyaux coniques à la ceinture qui pourraient être des ciaramella si le peintre ne les avait dotés d'embouchures de flûte à bec
Zampogna schématique à 4 chalumeaux coniques dont les deux plus longs sont munis de six trous
P. Sagnier
Vitrail de E. Laumonnier : breton en pied et en costume
Vers 1880
2 chalumeaux parallèles
Pochette du disque 33t Baron-Anneix vol.1 (non situé)
Dastum
Tableau (Huile sur toile) de Joseph Felix Bouchor (1853-1937) : "Noce bretonne" : dans la rue d'un bourg, deux sonneurs assis à gauche devant une maison à toit de chaume jouent pour une noce massée devant ce que l'on suppose être un café sur le côté droit de la rue. Les couples semblent former une ronde ou un cortège en forme de U
Début XXème
Biniou à peine discernable
Un tableau de ce même peintre est reproduit dans le n°73 de la revue Ar Men. Il présente une composition assez proche mais les danseurs forment une chaîne (gavotte)
Tableaux : série de tableaux de mission roulables dit " Taolennou " présentant tous le même schéma : sur fond noir, une femme, différente sur chaque toile, dont on ne voit que le buste, tient devant elle un panneau dont elle roule légèrement le bord gauche avec sa main. Sur ce panneau, figure un grand cœur jaune doté d'un oeil centré en sa partie haute et contenant divers animaux. Un ange, le diable et la colombe du St-Esprit et divers animaux sont représentés dans ce cœur ou à proximité (dans les coins supérieurs par exemple). Sous ces éléments sont figurés divers éléments plus terrestre : instruments de musique, bouteille, carte à jouer etc… symbolisant les formes du péché.
* " L'état de péché " : un diable debout est au centre du cœur, entouré des animaux qui le regardent. Les symboles du péché sont rangés dans la partie basse : le biniou, gonflé, est sur la gauche du tableau, à côté d'un violon et d'une partition
1 hautbois conique assez long et un bourdon d'épaule tout aussi conique, de longueur moitié et dans le prolongement exact du hautbois, un troisième tuyau, plutôt cylindrique est fixé sur le sac au même endroit que le hautbois mais diverge largement. Pas de porte-vent, sac brun.
* " La repantante est touchée du mauvais choix de sa conscience " ou " Le repentir de la femme ": L'ange fait fuir diable et animaux du cœur central. Les symboles du péché (instruments, cartes, bouteilles) chutent. biniou sous un cœur jaune d'où sortent divers animaux.
J. Eveillard " Croyances et superstitations en Bretagne " ed. Ouest-France (photo)
* " La rechute dans le mal " : un roi est assis au centre du cœur, sa couronne porte deux cornes. Il est entouré des animaux et de diables aux positions non équivoques : la rechute dans le péché est pire que l'état de péché initial. On retrouve la cornemuse dans le bas du tableau, avec le violon, mais plus au centre. Les symboles du péché sont d'ailleurs plus nombreux que sur le tableau de l'etat de péché.
Représentation schématique : un hautbois conique et un bourdon conique, qui ne sont plus dans le prolongement l'un de l'autre
Note : Un quatrième tableau " La contrition de la femme " ne comporte pas de cornemuse (puisqu'il ne comporte pas de symboles du péché)
Cat expo " An Taolennou - le ciel et l'enfer, des tableaux de mission à la bande dessinée 1630-1950 " Ch. De Kerjean, Saint Vougay 1990 (photos : celle de la repantante semble tronquée puisqu'on n'y voit pas le biniou, celle de la rechute dans le mal est en noir-et-blanc)
Tableau (Huile sur toile)de Jean-Bertrand Pegot-Ogier (1877-1915) (signé en bas à gauche de manière très visible) : scène de danse bretonne en extérieur, à l'arrière de deux maisons à toits à deux pans, l'une vue par le pignon (il doit s'agir d'une grange car elle n'a pas de cheminée) et l'autre, dotée d'une cheminée à chaque pignon, est vue par la façade arrière. Le joueur de biniou, seul (sans bombarde pour l'accompagner) joue debout pour trois couples au moins qui dansent dans une forme hésitant entre le cortège et la chaîne ouverte (mais il ne s'agit pas d'une vraie chaîne ouverte puisque le dernier couple n'est pas tourné dans la même direction que les deu premiers. A l'arrière des danseurs se dresse un arbre sans feuille et derrière celui-ci apparaissent les silhouettes de quelques hommes debout qui semblent regarder les danseurs. D'autres personnage, derrière les danseurs également semblent être d'autres danseurs. Derrière le joueur de biniou, enfin, tout à gauche de la composition, quelques femmes sont placée auprès d'une table.
Fin XIème début XXème
Représentation très imprecise (impressioniste) mais permettant tout de même de distinguer un bourdon d'épaule s'évasant en pavillon. La position des mains indique qu'il s'agit bien d'un biniou à tout petit tuyau mélodique
M. Vanden Bemden-Casier
Vitrail : adoration des bergers, tout en haut à gauche à l'arrière plan
2 hautbois ?
"Katolisches Apostolat", 12/1983, Friedberg
Tapisserie représentant la fable "Le loup devenu berger"
A. Matte
Huile sur bois de noyer (1,17m x 0,98m) : adoration des bergers, autre version du tableau de Vienne (cf. ref.), ces deux œuvres de même date reprennent des éléments (Vierge, enfant Jésus, têtes d'anges, boeuf) d'un tableau de 1529 (coll. privée, photo. in M. Guillaume p.107) qui lui, ne présente pas de berger cornemuseux. Ces tableaux ont également inspiré un vitrail de l'Hôpital St-Vincent à Chalon-sur-Saône (Cf. ref.).
1543 (daté sur la tableau), peintre travaillant en Bourgogne
Seul le bourdon d'épaule (brun-rouge, à pavillon et fontanelle ou raccord) est visible
M. Guillaume, "La peinture en Bourgogne au XVIème siècle", cat. expo. du Musée des Beaux arts de Dijon, juin-août 1990 (photo.)
Sc/bois
1455 à 1459 par le grassois Jean Bellot
Sans bourdon, porte vent brisé
Visible sur Musicastallis : https://musicastallis.huma-num.fr/fiche.php?id=247
P. Matte
Marqueterie : petit secrétaire (chef d'oeuvre de maîtrise, hauteur 39cm) en bois de rose, bois de violette, acajou, buis, ivoire, amarante. Sur les portes basses: trophées dont un avec cornemuse sur la porte gauche et peut-être également (très schématique) sur la porte droite. L'abattant représente la fable du renard et de la cigogne.
XVIIIème siècle
Schématique : sac piriforme et au moins un tuyau conique s'évasant en pavillon
http://www.vendeuvre.com/visite/musee/secretai.htm
J. Goniak
Sc/bois : miséricorde de stalle N-08
1522-1529 (parties restaurée au XIXème) Les stalles des églises de Villiers-sur-Loir (cf. ref.) et Launay proviendraient de cet ensemble.
1 bourdon d'épaule se séparant en deux parties inégales (fourche)
C.P. ancienne
"Histoire de la France rurale" t.2 (photo. N.B. attribuant
par erreur cette miséricorde à l'église de Champeaux)
"Partance" n°3 avril 1991 (photo.)
F. Billiet, Iconographie musicale dans les stalles médiévales
- Musicastallis :
https://musicastallis.huma-num.fr/fiche.php?id=249
(photo)
J.C. Compagnon
Gravure : cornemuseux de la série des Gobbis de Jacques Callot (Nancy, 1592 ; id., 1635) voir autres exemplaires à Metz, Nancy etc...
1er quart XVIIème siècle
1 bourdon d'épaule doté d'un petit renflement avant le pavillon. Petit tuyau mélodique extérieurement conique sur lequel le Gobbi pose la main gauche tandis que la droite presse le sac, petit porte-vent en bouche.
Référence établie d'après la notice présente sur la base Joconde du Ministère de la Culture, Copyright Direction des Musées de France 1986, avec l'autorisation de la Direction des Musées de France. (voir photo)
Vitrail : adoration des bergers
Fin XIXème ou début XXème
Sans bourdon ? Sac blanc
Michel Lhartholat et al, "Le patrimoine du canton de Pélussin" ed. Ass Village de notre Pilat (photo)
Dessin à la plume : danse macabre : mort (?), debout, jambe gauche largement en avant (marchant ?) jouant de la cornemuse. Ce registre contient quatre scènes de la Danse macabre. Le texte accolé à celui-ci est :
" Vous par divine sentence
Qui vivez en état divers
Tous danserez en cette danse
Une fois, bons et pervers… "
Ce registre fut tenu par Robert de Gohier de 1616 à 1630, curé artiste qui avait eu connaissance de l’œuvre de Guyot Marchant parue en 1486
1 bourdon d'épaule long à pavillon (?) évasé et fontanelle
Pochette du disque "Musique traditionnelle en Anjou", "Le
pays Candéen" produit par l'ass. Elébore (dessin)
Jacques Levron "La danse macabre de Vergonnes" Editions
Jacques Petit, Angers 1944 (illustration ci-dessous)
D. Le Vraux
Vitrail représentant les scène de la vie du Christ : nativité avec annonce aux bergers en haut à droite : un berger joue de la cornemuse et son voisin du hautbois
XVIème
1 bourdon d'épaule extérieurement conique, hautbois fortement conique.
C. Brassy
Fresque (ou plafond peint ?)
M. Mathys
Vitrail : anges musiciens : hautbois et cornemuse
Début XVIème, légèrement restauré
Sans bourdon, très long tuyaux mélodique plutôt cylindrique mais s'évasant en pavillon (assez semblable au hautbois de l'autre ange mais légèrement plus court), porte-vent en bouche, sac piriforme
C. Brassy
Peinture sur bois laquée au vernis Martin sur un piano Erard: dessins de Guichard, scènes de François-Louis LANFANT de METZ (1814 - 1892) et paysages de Lemmens. Parmi les scènes sans cornemuse, remarquons une jolie scène d'enfants (probablement de Lanfant) dont un joueur de flûte à trois trous tambour maniant deux marionnettes à la planchette devant trois enfants plus nobles dont l'un agite une crécelle au dessus de sa tête. Une autre scène, sur le fond doré de l'instrument, représente cinq puttis coiffés de couronnes de feuillages : les deux premiers tirent une charette basse sur laquelle les trois autres font de la musique avec paire de cymbales, flûte double et petit chapeau chinois en forme de petit parapluie auquel doivent pendre des grelots.
* trophée avec cornemuse, guitare, pavillon d'instrument à vent et ruban sur lequel est inscrit "CHERUBINI". Un autre trophée de même style représente une timbale, une contrebasse, un violoncelle, une flûte double et mentions sur le ruban "MOZART", "LULLY", "RAMEAU". Un troisième représente une vielle à roue (forme guitare, deux cors (?) naturels (cuivres probablement de type à un tour et demi, mais si on observe celui de droite, on constate que l'embouchure et le pavillon ne peuvent être disposés ainsi, l'enroulement serait impossible...), un petit cor populaire style cor des alpes et un tambour dont on voit bien le timbre sur la peau du dessous et une mailloche. mentions "J.J. ROUSSEAU", "MARAIS", "DELLA..." (probablement Dellalande)
Deux tuyaux probablement mélodiques (pas de trous de jeu visibles), extérieurement très coniques (cones réguliers), en bois brun avec renfort probablement de corne plus claire au pavillon et autres bagues de couleurs légèrement différentes du bois mais sans relief (une sur le petit, deux sur le plus grand de ces deux tuyaux). Pas de souche pour ces deux tuyaux montés de manière indistincte sur un sac sans col de cygne. Par contre la figuration de ce sac sans housse est assez réaliste avec ses plis et craquelures, notamment dans sa partie arrière "nouée" par l'intérieur ou pour la fixation du porte-vent avec une découpe en dents de scie. Ce porte-vent est mouluré et orné de deux parties plus claires (grandes bagues de corne claire ?)
* trophée avec cornemuse, cistre, tambour de basque à cymbalettes, cor type cor de chasse. Mentions "H. BERLIOZ", "VERDI", "CIMAROSA", "F. DAVID"
L'instrument est assez proche de celui de l'autre trophée mais demeure à nouveau peu compréhensible car le tuyau dont la fixation sur la poche fait penser à celle d'un tuyau mélodique a davantage la forme d'un bourdon, mouluré sur les trois quart puis s'évasant en pavillon. un autre pavillon arrive parallèment à celui-ci par derrière le cistre sans que l'on comprenne s'il fait bien partie de la cornemuse et, dans ce cas, comment il y est attaché. Un troisième pavillon apparait derrière le tambour de basque et semble bien attaché à une patte du sac visible en haut à gauche de celui-ci (sac à nouveau assez réaliste.
1855
M. Baudard
Tableau (huile sur panneau) de Jean-Léon Gérome (Vesoul 1824 -
Paris 1904), copie probable du tableau conservé à Nantes
1864
Zampogna italienne
Mme Julia
Vitraux : anges musiciens de style très différents, mais, dans les deux cas, les tympans représentent des concerts d'anges, chaque ange étant placé dans une lancette.
* Tympan du vitrail de la fenêtre axiale (vitrail dont le registre principal représente un arbre de Jessée), ange en grisaille sur fond bleu avec quelques touches de jaune (extrémité du hautbois et motif sur la tunique de l'ange).
Un bourdon vertical de longueur à peine supérieure à celle du hautbois et se terminant bizarrement par un pavillon qui semble bouché. Porte-vent non visible
* Vitrail de la fenêtre nord-est, angelot à l'allure plus enfantine (chérubin) que le précédent, vêtu d'une tunique rouge
Boîte à bourdons dressée (on devine le dessin des layettes et la forme de l'extrémité du cylindre). Chalumeau apparemment cylindrique à léger pavillon, porte vent présentant un décalage au niveau d'un plomb du vitrail
H. de Feraudy
Berger de la crèche représentant le seigneur du lieu : Claude Agnès de Calignon (bois, paille et tissus)
Fin XVIIIème, antérieur à 1791 (ou refaite en 1810 ?), réfection de l'instrument en 2012
Chabrette limousine à laquelle manquait le bourdon parallèle jusqu'en 2012 et dont le bourdon grave était placé sur l'épaule du musicien (cf ci-dessous, il s'agit probablement d'une erreur de montage par inversion du porte-vent et du bourdon car sur la carte postale Iris plus ancienne, la positon du bourdon est correcte). Fin 2012, le personnage est réapparu avec un instrument restauré plus conforme à l'organologie de la chabrette limousine : bourdon grave sur l'avant bras, petit bourdon parallèle...
L. Bonnaud op. cit. 1 et 3
et BSAHL t. LXXXVI 1955 p 135-138
repris également par H. Goursaud "La société rurale
traditionnelle en Limousin" t.2 p.475-76
C.P. Iris, C.P. philatélique monochrome (photo.), enveloppe
philatélique (dessin) et cachet de la poste (12/90), CP après
restauration 2012
Revue "Vieilles maisons françaises" 1981/2 (photo. N.B. pleine
page des personnages)
"Souffler c'est jouer - chabrettaires et cornemuses à miroirs
en Limousin", cat expo Paris ATP et St-Yrieix-la-Perche 1999
(photo.)
Sc/pierre, autres musiciens: 2 luths, psaltérion, hautbois, 2 trompes coudées, viole, flûte traversière, flûte à 3 trous, cornet à bouquin, percussion
Fin XIVème
1 bourdon d'épaule sans raccord, hautbois difficilement discernable
C. & J.L. Matte op. cit. (photo. N.B.)
Sc/pierre, autres musiciens : chantres, viole, sacqueboute, harpe, orgue positif, cymbales
XVème
1 bourdon d'épaule à un raccord (brisé au dessus du raccord)
Huile sur bois : adoration des bergers, autre version du tableau de Velogny (cf. ref.)
1543, école Française
Seul le bourdon d'épaule (brun-rouge, à pavillon et fontanelle) est visible
M. Guillaume, "La peinture en Bourgogne au XVIème siècle", cat. expo. du Musée des Beaux arts de Dijon, juin-août 1990 (photo.)
Copie sur toile de la peinture murale du XVème de "la Vierge des ménestriers"
Réalisée en 1877 par Pierrat (signée et datée, probablement Nicolas Constant Pierrat, lithographe et peintre, Munster (Haut-Rhin) 1829 - Bâle 1910) : Une Vierge à l'enfant, tenant une rose blanche, abrite sous son manteau, à sa gauche, sept personnages dont trois agenouillés au premier plan, vêtus du même habit blanc et portant un insigne sur le coeur, une bourse et une dague à la ceinture, à sa droite six musiciens tenant leur instrument en main ou en bandoulière : luth, tambour, viole et deux tuyaux évasés dépassant des épaules et susceptible d'être les bourdons d'épaule de deux cornemuses
Grand bourdon seul visible (s'il s'agit bien de cornemuses)
"Inventaire topographique de la région de Thann"
J.C. Compagnon
Sc/pierre : deux sculptures provenant d'un ensemble plus grand et représentant chacune un berger, au milieu de ses moutons, le regard tourné vers le ciel. Chacun d'eux a les mains posées sur le hautbois de sa musette dont il a lâché le porte-vent. Polychromie (sans doute récente), très bon état de conservation.
XVème
* personnage de gauche (dans le cas où les sculptures sont disposées personnages tournés l'un vers l'autre) tenant son chien en laisse et dont l'habit semble celui d'un moine : cornemuse sans bourdon, extrémité du pavillon légèrement détériorée * personnage de droite dont l'habit est plus caractéristique des bergers de cette époque : cornemuse à un bourdon d'épaule à deux raccords
C. & J.L. Matte op. cit. (photo. N.B.)
B. Delarozière
Tableau de l’école flamande : nativité avec annonce et adoration des bergers : deux bergers sont debout à droite, portant des agneaux, deux autres, la tête coiffée d’un capuchon restent derrière un muret à l’arrière de la Sainte famille, l’un des deux tient une cornemuse. Un dernier berger à l’arrière plan écoute la parole de l’ange. (environ 110 x 100 cm)
XVIIème
Un bourdon d’un seul tenant de forme conique, hautbois non visible, sac cylindrique, porte-vent
R. Amyot
Sc/pierre : Personnage en buste, au cheveux asses long, vêtu d'une veste avec des revers à l'extrémité des manches. Le musicien a les yeux relativement exhorbités. Les sculptures en face représentent un joueur de hautbois et un de flûte et tambour.
1528
1 bourdon d'épaule assez court (probablement du fait des contraintes liées à la sculpture), s'évasant en pavillon et doté d'une bague en sa partie médiane. Tuyau mélodique de longueur modérée (à peine plus long que la largeur des deux mains du musicien), s'évasant également en pavillon. Porte-vent conique tenu en bouche, petit sac formant un col de cygne.
S. Jaques de Dixmude
Sc/pierre polychrome: orchestre composé d'une cornemuse, d'un hautbois et d'une flûte-tambourin. Le chapiteau qui lui fait face représente trois (ou quatre ?) danseurs en chaîne, dont le premier tient une houlette de berger.
1528
1 bourdon d'épaule
Ch. Alexandre op. cit.1
& 2 (photo. N.B.)
C. et J.L Matte op. cit. 4
(photo)
Sc/bois : armoire de mariage provenant de la région de Lisieux avec musette sur trophées en médaillon de la porte de gauche, aigle au centre d'un cor à 1 tour et demi sur fond de lances sur le medaillon lui faisant pendant sur la porte de gauche
XIXème
Musette stylisée
Fiche avec photo sur https://collections.musees-normandie.fr
Y. Guibé
Sc/bois : armoires avec musette sur trophées en médaillon
Y. Guibé
Tableau de Barthélémy Gonzalez : un berger, chapeauté, conduit son troupeau à la pâture en jouant de la cornemuse.
1631
J.C. Roc
Vitrail : annonce aux bergers : un berger assis, vêtu en rouge et bleu avec capuchon jaune, représenté entre face et trois quart gauche, regarde vers le ciel, la main droite levée au dessus du visage. Son instrument semble tenu par sa main gauche au bout de son bras abaissé. Le bourdon passe devant lui pour venir appuyer son pavillon sur son genou droit. L'instrument est tronqué par le bord du vitrail. devant le berger, pesonnage couronné de profil et au dessus de lui, une bergère à la quenouille et un autre berger, de profil qui tient un bâton sur l'épaule (on pourrait croire à un bourdon de cornemuse mais cela ne semble pas être le cas.
Le chapitre a été construit entre 1452 et 1458
Hautbois conique bagué au pavillon mais dont la partie haute n'est pas visible, porte-vent, très beau bourdon d'épaule en trois parties dont un pavillon évasé, outre blanche, tuyaux jaunes
Affiche de l'exposition organisée par l'ARIMP en 1994 : "Représentations d'instruments de musique dans l'art roman et l'art gothique en Occitanie"
S. Rossèl
Sculpture sur pierre
C. Villeneuve
Sc/(bois ?) : trophées avec musette sur des panneaux muraux intérieurs
Ouvrage sur Villefranche
A. M Matte
Sc/pierre : nativité avec annonce et adoration des bergers (autre berger flûtiste)
XVIème
1 bourdon d'épaule
"Eure et Loire", coll. "Richesses de France", ed. J.Delmas (photo. N.B.)
Vitrail : scène de la visitation : ce vitrail a vraisemblablement été remonté après un bris. La Vierge Marie qui tend les mains en avant se retrouve ainsi avec deux bourdons montant verticalement au dessus de celles-ci et l’extrémité d’un chalumeau conique visible en dessous d’elles.
XIIIème siècle ?
Deux bourdons verticaux seuls visibles ainsi qu’un pavillon de hautbois.
Tableau (huile sur bois) d'Enguerrand Quarton (originaire du Laonnois vers 1415, connu en Provence de 1444 à 1446), berger cornemuseux en bas à gauche du tableau (fait partie de la scène du buisson ardent)
1453-54 : "Couronnement de la Vierge"
1 bourdon d'épaule avec résonateur en bout (type "gaïta"), hautbois conique
C.P. de l'ensemble ed. Abb. d'Encalcat & C.P. du détail
(ed. du Musée ?)
C.P. ed. L'Oeil et la Mémoire 2002 (cornemuseux détouré)
A. Erlande Brandenburg, "L'art gothique", ed. Mazenod (photo.
de l'ensemble)
"Dict. des grands peintres", ed. Larousse (photo. de
l'ensemble)
Bauer, "Die grosse Enzyklopädie der Malerei", Fribourg 1976
La Revue de l’Art n°97 (photo. du détail en couverture)
"Mille peintures des musées de France" ed. Gallimard Beaux
Arts (photo.) p.34
P. Sagnier, ass. L'oeil et la Mémoire
Vitrail, six anges musiciens au tympan, en rosace, avec, au centre, un ange tenant un phylactère. Cornemuse, harpe, flûte traversière, luth, viole et ?
1891 par l'atelier Duhamel-Marette
1 bourdon d'épaule assez fin, tuyau mélodique long et très fin, relativement cylindrique et se terminant par un petit pavillon conique
Corpus vitrearum - Haute-Normandie
C. Brassy
Sc/bois : trompette, cornemuse, livre de chant, basson, vielle à roue, lyre
1753 (date figurant sur le retable)
Cité dans la base Palissy du Ministère de la Culture: http://www.culture.gouv.fr/documentation/palissy/accueil.htm
Sc/bois ; ces stalles proviendraient, comme celles de Launay, de l'église abbatiale de la Trinité à Vendôme (cf. ref.). Cependant facture et bois semblent différents.
1522 à 1529 (si proviennent de Vendôme) : homme assis de trois-quarts, vêtu d'une "jupe" plissée, d'une simple cape volant au vent et d'un chapeau plat.
1 grand bourdon d'épaule apparemment cassé au niveau de la
fontanelle, hautbois assez long, évasé à son extrémité
Visible sur Musicastallis : https://musicastallis.huma-num.fr/fiche.php?id=265
J.C. Compagnon
Sc/pierre : culot représentant un personnage quasiment en buste (perspective ramassée comme généralement sur ce genre de cul de lampe), coiffé d'une sorte de bonnet duquel dépasse ses boucles de cheveux. Une petite cape recouvre ses épaules et ses bras. Il souffle dans sa cornemuse, tenue sous le bras droit, main droite en haut du chalumeau
Un bourdon d'épaule, brisé au dessus de la bague médiane (environ). On distingue encore la trace du pavillon sur la pierre à l'arrière. Chalumeau à pavillon (pavillon en partie brisé), masqué par les mains du musicien.
L. Dieu
Sc/pierre : instruments sur les culots de la 2ème travée : lyre, violon, flûte à bec, flûte traversière, cor, trompette, cornemuse, triangle, tambourin et partition.
1778 gravé sur un culot par Geoffroy Augustin et Jean-Pierre Pelissier, tous deux de Visan
Décrit dans la base de données Palissy, Ministère de la Culture et de la Communication - direction de l'Architecture et du Patrimoine. http://www.culture.gouv.fr/documentation/palissy/accueil.htm
Vitrail : ange cornemuseux au tympan
XIXème ?
Type zampogna : deux hautbois coniques de longueurs différentes montés sur une souche tronconique d'ou partent vraisemblablement un ou deux tuyaux bourdons (un petit vers l'avant, un second vers l'arrière. Le plus long des hautbois semble être doté d'une fontanelle., porte-vent en bouche
C. Brassy
Emaux sur cuivre, série de 32 émaux sur la Vie du Christ et de la Vierge, montés dès cette époque en triptyque pour constituer un retable. Le cornemuseux figure dans la scène de la Nativité : il s'agit du berger de gauche au sein des trois bergers serrés debout à l'arrière plan. Ce sont d'ailleurs eux qui sont abrité sous une sorte de grange tandis que la Sainte-famille et le boeuf sont dehors devant celle-ci. Joseph tient un cierge de la main gauche et montre la paume de sa main droite.
Achevé à Limoges en 1544 (date de la vente à Jehan Bricier qui en fit don à l'église Notre Dame de Vitré
1 bourdon d'épaule, extérieurement très légèrement conique et s'évasant en pavillon, barré de trois traits suggérant moulures ou raccord. Tuayu mélodique semblant extérieurement conique, de longueur moitié environ de celle du bourdon.
F. Lenormand
Toile imprimée, rouge sur blanc sur le motif dit l'Abreuvoir (au départ La Nouvelle fête flamande) conçu en 1797 par le peintre Jean-Baptiste Huet pour la Manufacture Oberkampf en s’inspirant d’un recueil d’estampes en plusieurs volumes de Pierre-François Basan, publiés entre 1761 et 1779
1780 pour le lit mais si le motif de la toile a été créé en 1797, celle-ci ne serait donc pas d'origine
Un bourdon d'épaule s'évasant en pavillon, Un tuyau mélodique extérieurement conique, porte-vent conique tenu en bouche
Voir la page sur les motifs de toile de Jouy : https://www.museedelatoiledejouy.fr/les-motifs-de-la-manufacture-oberkampf/
Voir d'autres utilisation de cette toile à partir de l'exemplaire de Jouy-en-Josas
F. Lenormand
Sc/bois : ange cornemuseux, sur le deuxième pilier ange jouant du rebec
XVème
Sans bourdon, souche en forme de tête humaine (fou ?)
J. Brill, "Symbolisme et civilisation" (thèse, photo. N.B.)
W. Stauder, "Alte musikinstrumente", 1973
C.D. 91 cornemuses d’Europe vol.2 ed. U.G.M.M. (photo.)
E. Montbel
Peinture : au dessus d'une corniche en stuc, plafond peint en trompe l'oeil, avec fausse rambarde en pierre, avec vasques fleuries aux quatre coins et sur laquelle reposent des étoffes de velours et des fleurs et, au centre de l'un des petits côtés, une musette. des angelots tenant des guirlande de fleurs sont figurés dans le faux ciel.
XIXème ?
Musette dont on aperçoit le sommet du sac, en velours blanc s'achevant par un gros noeud rouge et des franges dorées recouvrant la souche commune au tuyau mélodique et au petit bourdon, montés comme sur les musettes baroques, c'est à dire avec le petit bourdon du côté de la main droite du musicien. Le tuyau mélodique est extérieurement légèrement conique, s'évasant légèrement plus au niveau du pavillon. Il est orné de quatres bagues en fort relief : l'une au sommet, l'autre à l'entre main et deux marquant le début du pavillon. Trois trous sont figurés pour chaque main, aucune clef n'est visible, ni trou d'accord. Le petit pavillon est cylindrique, il présente trois bagues en relief similaires à celles du hautbois, l'une au sommet, l'autre au milieu et la troisième précède la partie terminale fermant totalement l'extrémité de ce tuyau par une petite perle noire disposée au sommet d'une sorte de petit champignon. Aucun trou n'est visible, excepté une petite tâche brune sur la première partie de ce bourdon. Tous les tuyaux sont beiges et les bagues noires.
P. Goergler
Sculpture/stuc : allégorie du théâtre avec, notamment, un ensemble ornemental avec chapeau, masque, violon, partition, flûte à bec, flûte de Pan, triangle, mandoline et musette
Entre 1751 et 1763 pour Pierre Hilaire Chapuis de Tourville. Faisait partie d'un décor plus important avec motifs identiques dans les coins, en grande partie détruit depuis les années 50.
Décrit dans la base de données Palissy (mais localisation précise dans le bâtiment non précisée), Ministère de la Culture et de la Communication - direction de l'Architecture et du Patrimoine. http://www.culture.gouv.fr/documentation/palissy/accueil.htm
Sc/pierre : cul de lampe
XVème
1 bourdon d'épaule
J.F. Chassaing op. cit. (dessin)
Sc/pierre : animal (?)
XIIème ? (L'état de conservation et le style de la statue permettent d'avoir des doutes sur la datation de cette sculpture, même si le portail est, dans son ensemble, indéniablement roman). La présence de rajouts postérieurs est d'ailleurs reconnue par les historiens de cette église
1 bourdon d'épaule à un raccord et pavillon, hautbois court et conique
"La France et ses trésors", ed. Larousse, fascicule n°112 (photo.)
Voir la copie réalisée en 2002 et exposé à l'Abbaye de Nieul-sur-l'Autise
J.L. Le Quellec